SuchtMagazin 2/2022: Réduction des risques (en allemand)
Vous vous souvenez sûrement des scènes ouvertes de la drogue dans les années 1980 et 1990 à Platzspitz et à Letten à Zurich, sur la terrasse du Palais fédéral ou au Kocherpark à Berne. C'est dans ce contexte de misère créée par les problèmes de drogues qu'est née la réduction des risques. La Suisse a ainsi joué un rôle de pionnière en matière de politique de la drogue. Depuis lors, la réduction des risques s'est établie, même si de nombreuses questions restent ouvertes. Le numéro actuel est consacré à quelques-unes de ces questions. Nous nous mettons en effet sur les traces de la réduction des risques et montrons son évolution et son importance au niveau international. Par ailleurs, nous discutons dans quelle mesure la réduction des risques doit aussi répondre à la consommation à risque et aux substances addictives légales. De nombreux autres articles sont également à découvrir.
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Addiction Suisse vient de publier sa prise de position quant à l'avant-projet de Loi sur les produits cannabiques (LPCan). Bien que la Fondation estime que le projet remplit de nombreux critères, certains points sont encore à améliorer, notamment les dispositions de la Loi fédérale sur la circulation routière.
Plus d'information et accès à la prise de position d'Addiction Suisse
SuchtMagazin: Le bas seuil dans le domaine des addictions
Que se passe-t-il lorsque des personnes passent à travers les mailles du filet de l’aide dans le domaine des addictions ? Comment réussir à apporter un soutien quand l’aide n’est même pas recherchée ? Ces questions – et bien d’autres – sont abordées dans le numéro actuel de SuchtMagazin, qui se consacre aux multiples facettes du travail à bas seuil dans le domaine des addictions, offrant un soutien là où les autres dispositifs ne suffisent pas. Cette édition montre comment ce travail à bas seuil est mis en œuvre, comment il permet la proximité tout en maintenant une distance professionnelle.
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Les ECS lausannois ne seront accessibles qu'aux personnes domiciliées sur le canton de Vaud
La Ville de Lausanne présente une nouvelle stratégie globale pour répondre à la crise du crack et la consommation de produits psychoactifs en rue. Des mesures accompagnent cette nouvelle stratégie notamment au travers de l'extension des heures d'ouverture de l'ECS de la Riponne, la mise en place de critères d'accès strictes (réservé notamment aux personnes domiciliées dans le canton de Vaud), le renforcement de l'équipe sociale de rue et des équipes sécuritaires. Une réflexion visant à regrouper les prestations socio-sanitaires dans un seul lieu va être démarrée.
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